Critique de Landon, par Anna Todd

Le nouveau livre de Anna Todd a fait son arriver en France le 7 Juillet, mais est-il à la hauteur de sa saga After ?

Après l'énorme succès de ses cinqs After et de ses deux Before, Anna Todd nous fait découvrir son nouveau livre, Landon, qu'elle est très fière de présenter à ses fidèles lecteurs. Un nom très connus pour ceux-ci. On y découvre la vie banale et New-Yorkaise de Landon, le personnage discret de After, au cœur brisé, dont les désirs vont changer après sa rencontre avec Nora. Mais faut-il choisir entre le désir ou un amour d'enfance subitement revenu. C'est dans ce triangle amoureux que nous entraîne la Texane de 27 ans. Que vaut donc ce livre aussi sensuelle que touchant ?

Malgré le succès du livre qui suit bien les évènements d'After, il est loin du succès de l'histoire d'amour entre sa colocataire, Tessa, et son demi-frère, Hardin. Le livre met beaucoup de temps à réellement commencer. Malgré quelques scènes attachantes qui nous donnent envie de lire plus, on finit souvent frustrer par le manque de rebondissements. Ce n'est qu'à la fin du roman que l'envie d'en lire plus est presque insoutenable. Cette nouvelle romance est conseillée, mais seulement après avoir lu After. C'est un livre sensible, doux et sensuel, comme son héro, qui nous laisse démunis devant certains personnages mystérieux, ainsi que complexe et un long manque de mouvements.

Alors est-ce l'amour ou le désir que Landon choisira, à voir lors de la sortie, non fixée, du deuxième tome.

Romane. 18 ans. Chinon

Bonjour Romane,

Ta critique n’est pas parfaite, mais presque ! Tu commences en contextualisant bien ton sujet. Tu arrives même à dégager une question, une problématique, qui ouvre sur la partie plus critique de ton article. Attention par contre à l’orthographe. Il y a de nombreuses fautes qui gâchent un peu l’article. Prend bien le soin à chaque fois de relire tes papiers, ou même de les faire relire par d’autres qui verront des fautes que tu n’avais pas vues. En tous cas continue comme ça.

Bonne continuation,

Maxime, 2ème année à l’EPJT